vendredi 14 septembre 2012

Essai gratuit Cloud Public IBM

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Cette offre limitée dans le temps inclut :

Des machines Copper, Silver 64 bits et Silver 32 bits. Les machines virtuelles exécutent Linux® (Red Hat ou Novell SUSE) ou Microsoft® Windows® Server 2003/2008. 256 gigaoctets de stockage de persistance. SmartCloud Application Services (PaaS) – Collaborative Lifecycle Management Services. SmartCloud Enterprise Object Storage – sur demande uniquement. Choisissez des logiciels IBM Software Group
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IBM se penche sur les molécules pour comprendre le graphène


IBM vient d’annoncer avoir développé une technique utilisant un microscope à force atomique permettant de révéler les liens moléculaires rejoignant des atomes de carbones entre eux. C’est une étape importante pour comprendre et manipuler le graphène. IBM a travaillé en partenariat avec les laboratoires du CNRS et l’université de Saint-Jacques-de-Compostelle.
La technique fonctionne pour l’instant sur une molécule simple, mais IBM espère l’adapter pour étudier les liens entre les atomes de carbones constituant une couche de graphène. Ce matériau continue d’être très prometteur (cf. « Le graphène est la potion magique des télécommunications »), mais parmi les défis à relever, il y a la gestion des liens entre les atomes qui ont des différences subtiles de tailles et résistances, ce qui va affecter les performances de l’ensemble. Les liens ont aussi tendance à se relâcher lorsque la couche à un défaut. Nous savons que le graphène peut s’autoréparer, mais les mécanismes en jeu restent peu connus.
IBM explique que pour la première fois, il est possible de détecter ces différences, ce qui permet de mieux comprendre la structure de la molécule utilisée. Cela permet d’envisager l’application en masse du graphène dans des panneaux solaires, des écrans OLED ou des transistors. 


 Image prise par IBM montrant qu'il peut faire ressortir les liens entre les atomes pour mieux les étudier 


Par: David Civera le 14/09/2012

mardi 4 septembre 2012

Smarter home collaboration from IBM and Vodafone

Berlin, Germany --- (METERING.COM) --- September 4, 2012 - IBM and Vodafone have announced a collaboration to combine mobile communications and cloud computing for the remote management of 'smart home' appliances.
Machine-to-Machine (M2M) technology makes home appliances more intelligent by connecting them wirelessly to the internet. This enables them to feed useful data back to the service provider or manufacturer to achieve a better customer experience through new functionality and enhanced services.
“The smart home market is now a reality and Vodafone is committed to delivering to it,” said Marc Tastayre, Vodafone’s M2M global business development manager. “Security is the first important step for connecting devices to the internet and the collaboration between IBM and Vodafone is putting in place an open, efficient and scalable solution for the consumer electronics industry that will enable it to successfully progress the creation of the 'Internet of Things'.”
IBM and Vodafone anticipate that this initiative could allow consumers to use their smartphones for a variety of remote activities including viewing their home’s utility consumption, controlling security, heating and lighting systems, and activating home appliances such as washing machines. Additionally the initiative will enable manufacturers and service providers to collect data from appliances that can be used to inform product development and maintenance and provide better services to consumers.
“This collaboration is a great example of how cloud computing can be used for business innovation versus solely for IT efficiency purposes,” added IBM Telecommunications Industry general manager Scott Stainken. “Cloud will increasingly be used in new ways that will provide enhanced consumer-centric experiences – especially when combined with mobile communications.

The IBM SmartCloud Service Delivery Platform provides an integrated, scalable cloud-based platform to give manufacturers a cost effective and scalable way to manage appliances and to rapidly introduce related new consumer services. Vodafone's Global M2M Platform offers appliance manufacturers the ability to easily and rapidly deploy managed and secure wireless connectivity to home gateways. By combining the platforms, the two companies will also provide the consumer electronics industry with an example of a global, open standards-based approach for smarter home connectivity and solutions.




published  metering .com
http://www.metering.com/Smarter/home/collaboration/from/IBM/Vodafone

lundi 3 septembre 2012

IBM veut faire de l’ordinateur Watson un superassistant vocal

IBM travaille à la création d’une application mobile qui permettrait aux utilisateurs d’exploiter l’intelligence artificielle de son superordinateur Watson pour obtenir des réponses aux questions les plus complexes. C’est avant tout au secteur professionnel que se destinerait cet assistant vocal.

Voilà à quoi ressemble Watson, le superordinateur d’IBM, dont la puissance équivaut à celle de 6.000 PC de bureau. Un monstre de puissance à 3 millions de dollars. 

Voilà à quoi ressemble Watson, le superordinateur d’IBM, dont la puissance équivaut à celle de 6.000 PC de bureau. Un monstre de puissance à 3 millions de dollars. © IBM






  Watson, le superordinateur d’IBM dont la connaissance encyclopédique et la vitesse d’analyse lui ont permis de battre les humains au jeu télévisé américain Jeopardy, va se transformer en assistant vocal pour terminaux mobiles. C’est ce à quoi travaille actuellement Big Blue, qui cherche à capitaliser sur cette technologie dans le domaine des services analytiques, un marché qui se chiffre en dizaines de milliards de dollars.
Techniquement, Watson repose sur 10 serveurs rack IBM alimentés par 90 processeurs Power7 octuple cœur (3,5 GHz) qui totalisent 2.880 fils d’exécution ou threads et 16 téraoctets de mémoire vive. Pour fournir une réponse à une question, Watson travaille à partir du logiciel IBM nommé DeepQA qui interroge et décortique les informations piochées dans une base de données géante de 200 millions de pages (dictionnaires, encyclopédies, documents de recherche, articles d’actualité…). Sa vitesse d’analyse est de 500 Go de données par seconde.
 
En septembre 2011, IBM a passé un partenariat avec le prestataire américain de services médicaux WellPoint, afin d’utiliser Watson comme assistant d’aide au diagnostic sur le cancer. En mars dernier, c’est Citigroup qui a décidé d’évaluer les capacités de Watson sur l’analyse financière dans le but d’améliorer les transactions des investisseurs. 

Un petit frère de Watson est en route
 
IBM souhaite désormais créer l’application qui permettra aux entreprises auxquelles il fournit la technologie Watson de pouvoir l’interroger depuis un terminal mobile. Bernie Meyerson, vice-président de l’innovation chez IBM a expliqué à Bloomberg qu’un « Watson 2.0 » était en préparation. Principal objectif, le doter de la technologie de reconnaissance des images et du langage naturel afin que les usagers puissent lui poser une question ou lui montrer quelque chose à analyser en prenant une photo avec leur smartphone ou leur tablette. Pour cela, IBM va notamment recourir à la reconnaissance vocale Nuance, qu’Apple utilise déjà pour son assistant Siri. « La puissance nécessaire à faire fonctionner Watson est en train de chuter comme une pierre », assure Bernie Meyerson.
L’idée n’est pas de faire entrer Watson dans les mobiles, mais plutôt de l’interroger à distance. La requête sera transmise via Internet au superordinateur qui renverra sa réponse en quelques secondes. C’est ainsi que fonctionne l’assistant vocal Siri, en envoyant les questions vers les serveurs Apple qui la traitent puis restituent une réponse par le biais d’une voix de synthèse.
Mais la grande différence entre Siri et Watson, c’est que le premier a pour vocation de déduire le sens d’une requête afin de comprendre n’importe quelle question, tandis que le second tire sa puissance de sa capacité à récupérer l’information au moyen d’une analyse approfondie. 

Watson le spécialiste, contre Siri le généraliste
 
Watson est un spécialiste plutôt qu’un généraliste, auquel il faut beaucoup de temps pour apprendre un sujet donné. Dans le cas du partenariat avec WellPoint, le service d’aide au diagnostic médical ne sera opérationnel que fin 2013, le temps que Watson assimile toutes les données liées à l’oncologie. C’est pour cette raison qu’IBM ne compte pas s’orienter vers des applications grand public mais au contraire fournir un service professionnel pointu. Le modèle économique consiste à vendre des outils analytiques basés sur Watson à une entreprise ayant un besoin dans un domaine spécifique (finance, santé, télécommunications, agronomie…) et à lui apporter l’application mobile adaptée. Ce n’est donc pas encore demain que l’on pourra se mesurer à Watson avec son smartphone dans une partie de Jeopardy…